Comme je l’ai écrit dans mon premier article, j’ai omis de mettre assez de joie dans ma vie quand j’en aurais eu le plus besoin ou quand cela aurait été bénéfique pour moi. Savez-vous ce que je créais l’année passée? Je m’en suis souvenue après la publication de mon premier article…

Rien ne se perd, tout se récupère… 🙂
Je me suis nourrie de joie durant des mois mais c’est quand le stress a été important et les contraintes multiples, que j’ai relayé ma nourriture de joie au second plan. Un peu comme si c’était un test. « Ok Délia, tu gères bien ta nourriture de joie en situation « normale », mais qu’en est-il lorsque qu’on augmente l’intensité? »
Une petite piqûre de rappel pour ne pas oublier l’essentiel.